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L'outil DIES n'est pas un figé. Les pratiques de terrain présentées sur notre site web ont pour vocation d'être renouvelées par les établissements d'enseignement supérieur. C'est pourquoi ce formulaire vous invite à soumettre des pratiques de terrain innovantes provenant de votre établissement. Chaque soumission peut contenir jusqu'à 5 pratiques de terrain. Si une ou plusieurs de celles-ci sont sélectionnées pour être publiées sur le site, vous serez recontacté·e par l'administration de l'ARES.

Soumettre une nouvelle pratique de terrain

01/ L’internationalisation fait explicitement partie de la vision de l’établissement, dans une perspective de long terme

Bonnes pratiques

HE ICHEC-ECAM-ISFSC : Une stratégie institutionnelle globale a été définie et traduite dans un plan d'action à l’horizon 2025, déclinée dans chaque département de la haute école. Dans cette stratégie globale est intégrée une stratégie internationale qui est transversale à toutes les composantes de l’institution.

02/ L’internationalisation se décline dans les trois missions de l’enseignement supérieur, à savoir l’enseignement, la recherche et le service à la société

03/ La vision et la politique de l’établissement en matière d’internationalisation sont traduites dans un plan stratégique avec des objectifs stratégiques et opérationnels, et décliné dans un plan d’action

Bonnes pratiques

Haute École Léonard de Vinci : La haute école a utilisé certaines conclusions saillantes de l’audit réalisé dans le cadre du programme « Erasmus+ » pour l’élaboration d’un nouveau plan stratégique international. Le plan stratégique international est basé sur une vision et des valeurs définies par le collège de direction.

04/ Toutes les actrices et tous les acteurs de l’établissement (étudiant·es, enseignant·es, chercheur·es, et personnel administratif) sont visés par la stratégie d’internationalisation

Bonnes pratiques

HEAJ : La stratégie internationale a été revue sur base des recommandations de l'IAU. Cela a impliqué une étude approfondie sous forme de bilan et une implication de tous les acteurs. À cet effet, l’ensemble du personnel a été consulté au moyen d’un formulaire, et un groupe de travail a été créé comprenant des étudiant·es, des professeur·es, des membres du personnel de tous les départements, ainsi que les membres de la cellule RI. Celui-ci a permis d’établir une vision stratégique globale concrète, réalisable, et concertée.

05/ Toutes les actrices, tous les acteurs et toutes les parties prenantes de l’établissement (région, ville, société civile, entreprises, etc.) sont visés par la stratégie d’internationalisation, et sont associés à sa création

Bonnes pratiques

UMONS : Par la participation dans des structures de concertation (ARES, pôle académique, acteurs de terrain dans la province), le partage d'expérience est favorisé. Par ailleurs, l’université est également en dialogue avec l’office du tourisme ou encore les autorités de la province.  L’université travaille également beaucoup avec l’ESN pour l’accueil des étudiant·es. « Mons 2015 » a constitué un momentum pour renforcer le dialogue avec les parties prenantes externes.

06/ L’ internationalisation est pensée dans une perspective durable et inclusive (étudiant·es à besoins spécifiques, questions de genre, migrant·es et réfugié·es, conditions socioéconomiques, enjeux environnementaux, etc.)

Bonnes pratiques

UMONS : L’université travaille en collaboration avec l’ASBL « Les Cèdres », en vue de soutenir l’accueil des étudiant·es à besoins spécifiques, en ce compris·es les étudiant·es en mobilité entrante et sortante. Cette information est fournie auprès de ces étudiant·es.

07/ La stratégie et la politique d’internationalisation intègrent une réflexion sur l’utilisation des langues

Bonnes pratiques

HELB : Dans la charte Erasmus pour la période 2021 – 2027, il est question de formuler une véritable politique d’investissement linguistique à l’attention particulière du personnel, qui impliquera un capital de formation disponible incitant les collègues à envisager un apprentissage ou un perfectionnement linguistique complété par une expérience courte à l’étranger via une mobilité enseignante ou une mission administrative.
Cette politique pourrait prendre un peu de temps à se mettre en place, mais la haute école est convaincue que la combinaison de formation linguistique avec l’opportunité de vivre une courte expérience à l’étranger (dans le cadre professionnel) peut permettre de passer à un stade ultérieur d’internationalisation.

 

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