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AssessForSuccess - Faciliter l’évaluation des pratiques d’accompagnement à la réussite
Cet ouvrage reprend les principales réflexions et travaux menés lors du projet Assess4Success, projet de trois ans dirigé par la Commission de l’aide à la réussite (CAR) de l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES).
Réussir ses études : des parcours types aux dispositifs d'aide
Découvrez les résultats d'une étude menée par l'ARES sur les parcours et les formes de soutien apporté aux étudiants dans les établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles (2014-2017).
JOURNÉE D'ÉTUDE / Maitrise du français langue d'enseignement
Lors de cette journée, des professeur·e·s du supérieur et du secondaire présenteront des dispositifs variés susceptibles de développer, chez les étudiantes et les étudiants, les compétences liées à une utilisation correcte et adaptée des codes, écrit comme oral.
Ils s’interrogeront ensuite, au sein d’ateliers thématiques, sur certaines spécificités de cette maitrise transversale : de la maitrise de la langue française dans les formations pédagogiques ou pour aider la transition secondaire-supérieur à la maitrise de la langue française dans diverses disciplines, dans l'usage des outils numériques ou pour la compréhension de textes scientifiques.
La journée d'étude sera introduite par les allocutions de Mme Pascale Genot, représentante du ministre de l'Enseignement supérieur, de l'Enseignement de promotion sociale, de la Recherche et des Médias, et Mme Marie-Martine Schyns, ministre de l'Éducation.
Rendez-vous le 12 mars 2019 à Liège !
Qui ?
La Commission « Aide à la réussite » du Pôle académique Liège-Luxembourg
Quoi ?
Journée d'étude sur « La maitrise du français langue d'enseignement »
Quand ?
Le mardi 12 mars 2019 de 9h à 17h
Où ?
HELMo Campus de l'Ourthe
Quai du Condroz 28,
4031 Liège
Inscription ?
La journée s'adresse aux membres du personnel de l’enseignement supérieur, tous pôles confondus, ainsi qu’aux professionnels et professeurs du secondaire (transition secondaire – supérieur).
L'inscription est gratuite mais obligatoire. Clôture des inscriptions : le 10 mars 2019
EN SAVOIR + : consultez le programme de la journée
Réussir ses études : des parcours types aux dispositifs d'aide
Que signifie aujourd'hui "réussir ses études" ? Des différents types de parcours de réussite aux meilleures façons d'accompagner les étudiants, l'aide à la réussite était au coeur de la journée organisée ce mardi 27 février autour des résultats d'une étude menée par l'ARES sur les parcours et les formes de soutien apporté aux étudiants dans les établissements d'enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les principaux constats et les principales conclusions de cette recherche sont à présent disponibles sous la forme d'un résumé du rapport de recherche, dont la version complète, elle aussi, sera bientôt en ligne.
Les pratiques de promotion de la réussite et d’accompagnement des étudiants de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles connaissent, ces dernières années, un développement à la fois quantitatif et qualitatif et une "institutionnalisation" croissante. Et pourtant, l’échec et l’abandon persistent... Serait-ce donc une "fatalité" dans un système d'enseignement supérieur où l'accès est "ouvert" comme le nôtre (avec peu de filtres à l'entrée) ? Ou encore une résultante assez logique de l'augmentation très significative du nombre d'étudiants qui entament des études supérieures ces dernières années ? Existe-t-il des obstacles expliquant que l'offre d'aide à la réussite ne rencontre pas toujours les besoins des étudiants ?
La recherche autour de laquelle la journée était construite se base sur les réponses apportées par 2505 étudiants "diplômables" au terme de l'année académique 2016-2017 et qui ont été interrogés par questionnaire en 2017, ainsi que sur l'analyse de 17 entretiens qualitatifs réalisés en août et septembre 2017 auprès d'un échantillon des répondants. Elle avait pour but de s’interroger sur la notion de réussite et de mettre en évidence des "parcours de réussite" dans le premier cycle de l’enseignement supérieur. Avec, en toile fond, la réforme de l'organisation académique des études entrée en vigueur en 2014, qui a vu "disparaitre" le principe d'année d’études et le concept de réussite évoluer. Quelles sont les principales conclusions ?
"Le parcours d'un étudiant qui réussit trois blocs de 60 crédits en trois ans n'est qu'un exemple parmi d'autres"
9 profils types de parcours de réussite
Le parcours d'un étudiant qui réussit trois blocs de 60 crédits en trois ans n'est qu'un exemple parmi d'autres. En élargissant le spectre, la recherche a permis de mettre en évidence, auprès des étudiants, différentes formes de résilience et de stratégies, et d'aboutir à la caractérisation de neuf profils types de "parcours de réussite" conjuguant durée (parcours direct, intermédiaire et long) et degré de personnalisation (classique, personnalisé, très personnalisé).
Dix indices regroupant des variables "individuelles" susceptibles d'influencer les parcours ont également été construits et mis en relation avec ces profils. Il s'agissait ici notamment de vérifier la mesure dans laquelle le fait de "posséder" telle caractéristique impactait la probabilité de s'inscrire dans un tel parcours de réussite, sans toutefois que ces corrélations impliquent des liens de causalité. L'analyse permet ainsi d'observer que les étudiants de l'enseignement supérieur artistique suivent davantage un parcours direct que les autres. Ou, plus étonnant, qu'un soutien pédagogique important ne signifie pas nécessairement "parcours direct", ce qui tend à remettre en cause l'idée selon laquelle ceux qui bénéficient de l'aide à la réussite sont ceux qui en ont le moins besoin.
"La réussite semble ainsi aujourd'hui reposer sur une adaptabilité des parcours d'autant plus nécessaire que l'étudiant est, par exemple, âgé, que son "capital culturel" est faible ou qu'il travaille parallèlement à ses études"
L'adaptabilité des parcours au service de la réussite
A partir de ces parcours, précise Leila Mouhib, chargée de recherche à l'ARES, "l'idée était aussi de mettre en lumière les dispositifs d'aide qui ont permis aux étudiants, notamment ceux en difficulté, d'arriver au bout de leur bachelier, pour favoriser leur mise en perspective, identifier leurs dénominateurs communs, et favoriser leur potentielle adaptation aux besoins et aux perceptions des bénéficiaires".
Là où les variables "individuelles" ne permettent pas de prédire le type de parcours d'un étudiant, l'analyse des données du questionnaire – et, plus encore, les récits livrés au cours des entretiens individuels – fait, elle, apparaitre un terreau propice à la réussite, comme autant de "dénominateurs communs".
La réussite semble ainsi aujourd'hui reposer sur une adaptabilité des parcours d'autant plus nécessaire que l'étudiant est, par exemple, âgé, que son "capital culturel" est faible ou qu'il travaille parallèlement à ses études. Par exemple, pour Raphaël*, qui émarge à l'aide sociale, le principe de la capitalisation de crédits et le fait de ne plus "réussir" ou "échouer" une année facilite la décision du Centre public d'action sociale de continuer à subvenir à ses besoins...
"Les dispositifs d'aide à la réussite sont mieux reçus si ils ne sont pas présentés comme tels ou de telle sorte qu'ils puissent être perçus comme autant de 'béquilles de secours'"
L'aide à la réussite avancerait-elle mieux masquée ?
Autre enseignement : les dispositifs d'aide à la réussite sont mieux reçus si ils ne sont pas présentés comme tels ou de telle sorte qu'ils puissent être perçus comme autant de "béquilles de secours". Un séminaire méthodologique ouvert à tous ? Des guidances, même sur base volontaire ? De tels éléments ne sont (curieusement) pas toujours perçus comme une forme d'aide à la réussite et semblent d'autant plus "attirants" qu'ils sont généraux et qu'ils ne ciblent pas les étudiants en difficulté.
Et que dire de la disponibilité des enseignants ? Parmi un éventail de 13 outils d'aide à la réussite, c'est elle que les étudiants interrogés plébiscitent. Elle recueille un taux de satisfaction moyenne de 43,3 % là, où, en queue de peloton, on retrouve les blocus assistés, le parrainage et les tests diagnostics...
*prénom d'emprunt
EN SAVOIR + : Pour en savoir plus, et notamment découvrir les autres conclusions de l'étude, consultez le rapport intégral de recherche ou le résumé du rapport.
Télécharger le rapport intégral de recherche (PDF - 2148 Ko)
Téléchargez le résumé du rapport de recherche (PDF - 800 Ko)
L'étude Réussir ses études. Quels parcours ? Quels soutiens ? Parcours de réussite dans le premier cycle de l'enseignement supérieur - Fédération Wallonie-Bruxelles a été réalisée par Leila Mouhib, chargée de recherche à l’ARES, à l'initiative et sous la supervision de la Commission d’aide à la réussite, et a bénéficié du soutien financier de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Journée "RÉUSSIR SES ÉTUDES. Quels parcours ? Quels soutiens ?"
L’ARES a mené, en 2017, une vaste recherche-enquête visant à mettre en évidence les « parcours » et les « catalyseurs » de la réussite en premier cycle de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Elle organise le 27 février 2018 une journée de réflexion à Louvain-la-Neuve, pour en présenter et en discuter les résultats :
« RÉUSSIR SES ÉTUDES.
Quels parcours ? Quels soutiens ? »
LES QUESTIONS CLÉS
- Quels sont les types de parcours observés en bachelier en Fédération Wallonie-Bruxelles ?
- Quels facteurs académiques, pédagogiques, relationnels, économiques ou culturels jouent-ils en faveur de la réussite ?
- Comment adapter au mieux l'aide à la réussite aux besoins des étudiants ? Et quelles sont les initiatives qui marchent ?
POUR QUI ?
La journée sera introduite par les ministres Jean-Claude Marcourt et Isabelle Simonis. Elle s'adresse aux établissements d'enseignement supérieur (services d'aide à la réussite, services sociaux, enseignants), aux pôles académiques, mais aussi à l'administration, aux décideurs, aux représentants étudiants, ainsi qu'aux chercheurs du domaine, aux établissements d'enseignement secondaire et aux acteurs de l'information sur les études.
PROGRAMME
Dès 8h30 |
Accueil et enregistrement |
9h15 |
Ouverture |
9h45 |
Introduction - Colette Malcorps, Haute École EPHEC, & Jacques Laffineur, UCL - coprésidents de la Commission de l'aide à la réussite de l'ARES |
10h00 |
Présentation de l'étude « Parcours de réussite » |
10h45-11h15 |
Pause |
11h15 |
Table ronde sur la réussite en bachelier Intervenants : » Dorothée Baillet, chercheure (ULB) |
12h30-13h45 |
Lunch |
13h45-15h30 |
Ateliers |
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Atelier 2 – Réussite et accompagnement (pédagogique, personnel, social, psychologique, médical, etc.) : comment accompagner les étudiants sur ces différents plans ? Atelier 3 – Réseaux de soutien à l’étudiant : Quelle présence experte et bienveillante pour favoriser la réussite ?
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15h30 |
Fin |
Qui ?
L'Académie de recherche et d'enseignement supérieur
Quoi ?
« RÉUSSIR SES ÉTUDES. Quels parcours ? Quels soutiens ? ». Réflexion autour des résultats d’une recherche-enquête de l’ARES
Quand ?
Le mardi 27 février 2018, de 8h30 à 15h30
Où ?
Louvain-la-Neuve
UCL – Bâtiment Socrate
Place Cardinal Mercier, à 1348 Louvain-la-Neuve
EN SAVOIR +
Consultez le rapport intégral de recherche ou le résumé du rapport
Téléchargez le support de présentation de l'étude (PDF - 1 Mo)
Tunisie : mission courte, mais fort potentiel de renforcement de nos collaborations académiques et scientifiques
L’ARES était en Tunisie entre le 7 et le 9 septembre derniers. La délégation, emmenée par le professeur Serge Jaumain, ULB, président de la Commission des relations internationales de l’ARES, a rencontré les principaux acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche du pays. L’objectif : renforcer les collaborations académiques et scientifiques existantes. Une mission courte, mais qui a révélé une réelle volonté et un potentiel de renforcement de la coopération existante.
En novembre 2015, le ministre tunisien alors en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche, Monsieur Chibeb Bouden, visitait l’ARES, accompagné d’une large délégation des hauts représentants de son ministère. La rencontre était organisée à l’occasion d’une étape cruciale pour l’enseignement supérieur et la recherche en Tunisie. En signant un accord d’association entre le pays et l’Union européenne au programme « Horizon 2020 », la Tunisie est ainsi devenue le premier pays africain associé au programme européen. L’étape, cruciale, ouvre des perspectives inédites tant pour les chercheurs tunisiens que pour leurs homologues européens.
Le budget alloué à l’Instrument européen de voisinage pour la coopération avec la Tunisie n’a cessé d’augmenter ces cinq dernières années pour atteindre plus de 180 millions d’euros en 2015.
Doper les relations existantes...
À l’occasion de la rencontre à Bruxelles, le ministre avait indiqué son souhait fort de renforcer les collaborations académiques et scientifiques avec la Fédération Wallonie-Bruxelles. Diversifier la coopération et renforcer des liens avec les pays francophones sont deux priorités.
Historiquement, les établissements d’enseignement supérieur tunisiens entretiennent des relations étroites avec leurs partenaires français. Pour le ministre, le potentiel d’un renforcement des collaborations existantes avec la Fédération Wallonie-Bruxelles devait être sérieusement envisagé, notamment dans la participation à des projets européens conjoints, dans l’appui à la valorisation de la recherche en Tunisie, le développement de cotutelles de thèse, etc. Chibeb Bouden avait donc proposé à l’ARES l’organisation d’une rencontre des présidents et responsables des établissements d’enseignement supérieur tunisiens et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, cette fois en Tunisie.
En 2015-2016, près de 295 000 étudiants étaient inscrits dans l’enseignement supérieur (public et privé) en Tunisie, dont 63 % d’étudiantes. Parmi les doctorants, près de 70 % étaient des femmes.
...dans un contexte de défis majeurs
Depuis le Printemps arabe, de nombreux établissements d’enseignement supérieur ont cherché, de manière individuelle, à renforcer leurs collaborations avec leurs partenaires tunisiens. Cependant face aux défis majeurs auxquels est confrontée la Tunisie – en particulier, le chômage des jeunes, une stabilité politique encore fragile, des faits de corruption supposés encore observés aujourd’hui et la sécurité – les efforts entrepris n’ont généralement pas abouti.
Les membres de la Commission des relations internationales de l’ARES ont par conséquent privilégié l’organisation d’une mission exploratoire courte avec pour principal objectif de rencontrer les représentants de quelques établissements tunisiens et d’échanger avec eux sur les attentes respectives et les pistes concrètes de renforcement des coopérations.
Les collaborations académiques et scientifiques sont nombreuses entre la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Tunisie. Nos établissements ont notamment développé un programme ‘Erasmus Mundus’ et mené quelques projets ‘Tempus’.
Emmenée par le professeur Serge Jaumain, ULB, président de la Commission des relations internationales, et soutenue par le Délégué Wallonie-Bruxelles à Tunis, Monsieur Christian Saelens, la délégation de l’ARES a rencontré l’Université de Tunis, l’Université de Tunis El Manar, l’Université de Tunis La Manouba, l’Université virtuelle de Tunis, mais également le Bureau national « Erasmsus+ » et le Bureau de liaison « Horizon 2020 ».
La délégation a eu également le privilège de rencontrer le nouveau ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Monsieur Slim Khalbous, désigné quelques jours auparavant dans le nouveau gouvernement d’union nationale. Le ministre a réitéré la volonté de son prédécesseur de renforcer les collaborations académiques et scientifiques avec la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il a également souligné sa priorité de mener à bien la réforme de l’enseignement supérieur qui devra renforcer l’autonomie des établissements tunisiens et donc impacter positivement leur coopération internationale.
Lors de ces rencontres très fructueuses, les représentants tunisiens ont confirmé de manière unanime leur volonté de renforcer les collaborations avec la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ils ont également expliqué les défis auxquels les universités et établissements d’enseignement supérieur tunisiens sont confrontés aujourd’hui, défis auxquels de nouvelles collaborations devraient pouvoir répondre.
La Fédération Wallonie-Bruxelles, modèle et partenaire
Les partenaires tunisiens se sont montrés particulièrement intéressés par l’ARES. La structure et le mode de gouvernance du secteur en Fédération Wallonie-Bruxelles pourraient alimenter les travaux actuels en Tunisie sur la gouvernance de son système et de ses établissements d’enseignement supérieur.
Mais, au-delà des questions systémiques, les partenaires tunisiens envisagent aussi la Fédération Wallonie-Bruxelles comme une terre d’opportunité pour leurs chercheurs. Face au problème de chômage des docteurs et au manque de perspective pour les chercheurs tunisiens, les universités tunisiennes souhaitent accroître les possibilités de cotutelle de thèse ainsi que les opportunités postdoctorales pour leurs chercheurs.
Les universités rencontrées ont également souligné la quasi absence de système de valorisation de la recherche. Elles ont dès lors montré un intérêt tout particulier aux bureaux de transfert de technologies de nos universités, au réseau LIEU et à l’Interface Adisif.
Entre 2006 et 2016, le nombre d’étudiants tunisiens inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles a presque doublé. En 2015-2016, quelque 250 étudiants tunisiens poursuivaient des études supérieures en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Une excellence partagée, des collaborations déjà enclenchées
La délégation de l’ARES a également eu le privilège de visiter l’Institut Pasteur de Tunis. Celui-ci constitue un centre de référence dans la région, notamment dans la recherche sur les venins et les biomolécules thérapeutiques. Cette visite a permis de montrer l’excellence scientifique déjà présente en Tunisie.
Dans la cadre de la nouvelle programmation de coopération bilatérale de WBI avec la Tunisie, 16 projets relatif à la coopération académique et scientifique ont été sélectionnés. Ils concernent les domaines des sciences humaines et sociales, des sciences et développement durable, et les sciences de la santé.
Pour Julien Nicaise, administrateur de l’ARES, « cette mission a démontré que la volonté affichée du ministre tunisien en novembre dernier de renforcer la coopération avec nos établissements d’enseignement supérieur trouve un écho tout aussi favorable auprès des acteurs de terrain tunisiens. Les défis restent nombreux en Tunisie, mais un potentiel remarquable existe. Il ne reste plus qu’à envisager ensemble les pistes concrètes de coopération. C’est ce que nous ferons prochainement, en étroite collaboration avec Wallonie-Bruxelles International ».