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Réforme de la formation initiale des enseignants : deuxième édition de l’épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française
La deuxième édition de l’épreuve liminaire écrite portant sur la maitrise approfondie de la langue française en qualité d’émetteur et de récepteur en contexte professionnel (EMLF) aura lieu le mardi 15 octobre 2024 dans une quinzaine d’établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les étudiantes et étudiants pourront s’y inscrire gratuitement, du 10 septembre au 1er octobre 2024, via une plateforme en ligne.
Qui est concerné ?
- Elle est organisée pour les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e année du secondaire). Pour ces sections, l’épreuve est facultative et permet d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue au programme de la première année d’études.
- Les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants de la fin du secondaire) seront concernées dès l’année académique 2025-2026. L’épreuve sera obligatoire et liée à 5 crédits supplémentaires en cas d’échec pour les étudiantes et les étudiants des sections 4 et 5.
Quelles sont les conditions de réussite ?
Pour réussir ce test, les étudiantes et étudiants doivent atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL). Deux compétences seront évaluées :
- Analyser et résumer un texte écrit informatif ou argumentatif au niveau des contenus explicites et implicites.
- Produire un texte écrit argumentatif en mettant en œuvre adéquatement un processus d’écriture, en ce compris les règles syntaxiques et orthographiques.
L'EMLF a donc pour objectif d'évaluer le niveau de maîtrise de la langue française, nécessaire pour enseigner. Si ce niveau n’est pas atteint dès le début des études, les étudiantes et les étudiants suivront un cours leur permettant d’acquérir les compétences attendues.
Comment se préparer à l’épreuve ?
Les modalités académiques et les conditions de réussite sont définies au sein d’un programme détaillé rédigé par un jury composé de neuf membres représentant les établissements d’enseignement supérieur. Pour celles et ceux qui le souhaitent, il est d’ailleurs possible de se préparer à l’épreuve via la plateforme mesetudes.be.
Comment les résultats seront-ils communiqués ?
Chaque personne recevra personnellement le résultat de son épreuve au plus le mardi 3 décembre 2024 avec une mention de réussite ou de non-réussite. La grille d’évaluation reprenant les critères de réussite est mise à la disposition de l’étudiante ou de l’étudiant sur le site mesetudes.be à la suite des consignes de passation de l’épreuve.
L’an dernier, près de 3 440 étudiantes et étudiants ont participé à la première édition du test.
Les informations essentielles au sujet de l’épreuve se trouvent sur le site mesetudes.be.
La première épreuve de maîtrise approfondie de la langue française livre ses résultats
Le 17 octobre dernier a eu lieu la première épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française (EMLF), marquant ainsi une étape significative dans la réforme de la formation initiale des enseignants. Les résultats de cette épreuve non obligatoire, qui a réuni 3102 étudiantes et étudiants, ont été délibérés et validés par le jury.
L’épreuve était composée de deux parties : un questionnaire à choix multiples (QCM) et une production écrite argumentative. Pour réussir, l’étudiante ou l’étudiant devait atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence (CECR) pour les Langues. Ce niveau est validé et l’épreuve est réussie lorsque les trois conditions cumulatives sont remplies :
- réussir la partie QCM avec 60% de réponses correctes ;
- atteindre 97% de formes correctes pour le fonctionnement de la langue dans la production écrite ;
- réussir la production écrite avec 50%, indépendamment du fonctionnement de la langue.
Résultats
Sur les 3442 étudiantes et étudiants inscrits, 3102 ont effectivement présenté l’épreuve, représentant un taux de participation de 90%.
En ce qui concerne la partie QCM, 63% des candidates et candidats (1964) ont atteint le seuil de réussite fixé à 7 réponses correctes sur 12. Pour la production écrite, 47% des étudiantes et étudiants (1484) ont atteint le seuil des 97 % de formes correctes, soit un taux de réussite de 47%, tandis que 34% (1064) ont réussi la production écrite, sans prendre en considération le seuil des 97% de formes correctes.
Ces résultats indiquent que 21% des personnes ayant présenté l’EMLF, soit 655 lauréates et lauréats, ont donc réussi.
Rappelons que l’EMLF était initialement prévue cette année exclusivement pour les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e° année du secondaire). Facultative, cette épreuve permet d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue au programme de la première année du cursus. Pour les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants de la fin du secondaire), l’EMLF sera obligatoire dès 2025 et liée à l'attribution de 5 crédits supplémentaires en cas d'échec.
Attestations et consultation des copies
Les candidates et candidats ont reçu par mail une attestation de réussite ou une attestation de participation (en cas d’échec), valable dans tous les établissements organisant la formation initiale des enseignants. La consultation des copies est organisée par l’établissement dans lequel les candidates et candidats ont passé l’épreuve.
Sont considérées comme formes incorrectes : erreurs d’orthographe grammaticale (accords, conjugaison, homophones grammaticaux), d’orthographe lexicale (dont homophones lexicaux), erreurs de lexique (utilisation d’un terme incorrect, d’une mauvaise préposition…), les erreurs syntaxiques (ruptures, phrases averbales, concordance des temps…) et les erreurs de ponctuation indiscutables (une virgule entre le sujet et le verbe, mauvais choix de ponctuation pour finir une phrase…). Pour plus d’infos, consultez l’annexe du présent document.
3444 inscriptions à la première épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française
La première épreuve liminaire portant sur la maitrise approfondie de la langue française en qualité d’émetteur et de récepteur en contexte professionnel (EMLF) s’est déroulée avec succès ce mardi 17 octobre. Organisée au sein de 15 établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, elle s’inscrit dans le cadre du décret définissant la réforme de la formation initiale des enseignants du 7 février 2019. Pas moins de 3444 étudiantes et étudiants ont pris part à l’épreuve.
Qui est concerné ?
Un total de 3444 étudiantes et étudiants des sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e° année du secondaire) ont présenté l’épreuve dans l’établissement de leur choix.
Bien que cette épreuve soit facultative, elle a rencontré un franc succès en termes d’inscriptions et offre la possibilité d’obtenir une dispense du cours de maitrise de la langue française au programme pour la première année du cursus.
Quelles sont les conditions de réussite ?
Pour réussir ce test, l’étudiante ou l’étudiant doit atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues. Pour ce faire, deux compétences vont être évaluées :
- analyser et résumer un texte écrit, informatif ou argumentatif au niveau des contenus explicites et implicites ;
- produire un texte écrit argumentatif en mettant en œuvre adéquatement un processus d’écriture, en ce compris les règles syntaxiques et orthographiques.
Quelles sont les modalités pratiques ?
Les modalités ont été définies au sein d’un programme détaillé élaboré par un jury composé de neuf membres représentant les hautes écoles, les universités et les écoles supérieures des arts. La présidence du jury a été confiée à un membre issu d’une haute école.
La correction de l’épreuve sera réalisée conjointement par les établissements et l’administration de l’ARES.
Chaque établissement concerné a bénéficié de l’encadrement d’un groupe de personnes relais qui a maintenu un contact permanent avec l’ARES. Ces personnes relais étaient chargées de garantir le respect des critères d’organisation et de veiller au bon déroulement de l’épreuve.
Comment les résultats seront-ils communiqués ?
Après avoir préparé cette épreuve, le jury, assisté par des expertes et experts, à savoir des docimologues, des juristes, des membres du jury du CESS et de la commission médicale pour les aménagements raisonnables, pourra délibérer des résultats de l’épreuve.
Ces résultats seront communiqués, au plus tard le premier mardi du mois de décembre, à savoir le 5 décembre 2023. Les candidates et candidats recevront personnellement leurs résultats de l’épreuve, sous la forme d’une attestation de réussite ou d’une attestation de participation en cas d'échec, le cas échéant.
Laurent Despy, administrateur de l'ARES, déclare : « Il est remarquable de constater que malgré le caractère facultatif de l'épreuve, les inscriptions ont rencontré un succès important, démontrant ainsi la détermination des étudiantes et étudiants à exceller dans leur cursus. Je tiens, enfin, à remercier chaleureusement toutes les personnes impliquées pour que ce test se déroule dans les meilleures conditions possibles qu’il s’agisse des équipes de l’ARES, des membres du jury et des établissements d’enseignement supérieur. Leur engagement est une pierre angulaire de notre réussite collective. »
Réforme de la formation des enseignants : organisation de la première épreuve sur la maitrise approfondie de la langue française
La première épreuve liminaire portant sur la maitrise approfondie de la langue française en qualité d’émetteur et de récepteur en contexte professionnel (EMLF) aura lieu le mardi 17 octobre 2023 au sein de 17 établissements d’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. Cette épreuve s’inscrit dans le cadre du décret définissant la réforme de la formation initiale des enseignants du 7 février 2019.
Qui est concerné ?
- Pour les sections 1 à 3 (futures enseignantes et futurs enseignants de la classe d’accueil à la 3e° année du secondaire), l’EMLF est organisée à partir de cette année. Elle est facultative et offre la possibilité d’obtenir la dispense du cours de maitrise de la langue au programme de la première année du cursus.
- Pour les sections 4 et 5 (futures enseignantes et futurs enseignants de la fin du secondaire), l’EMLF sera obligatoire dès 2025 et liée à l'attribution de 5 crédits supplémentaires en cas d'échec.
Les personnes candidates pourront s’inscrire en ligne à partir du mardi 12 septembre 2023 dès 10h, et ce jusqu’au mardi 3 octobre, 15h.
Quelles sont les conditions de réussite ?
Pour réussir cette épreuve, l’étudiant·e doit atteindre le niveau C1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues. Pour ce faire, deux compétences seront évaluées :
- analyser et résumer un texte écrit informatif ou argumentatif au niveau des contenus explicites et implicites ;
- produire un texte écrit argumentatif en mettant en œuvre adéquatement un processus d’écriture, en ce compris les règles syntaxiques et orthographiques.
La différence sur le niveau attendu entre l’évaluation du certificat d’enseignement secondaire supérieur (CESS) en français et celle de l’EMLF, s’explique par des repères et des niveaux différents évalués dans ces deux épreuves. Le CESS évalue des compétences liées à l'argumentation et à la synthèse de textes à la fin du parcours secondaire, tandis que l'EMLF vise à évaluer le niveau de maitrise de la langue requis pour enseigner. Si ce niveau n’est pas atteint à l’entame des études, les étudiantes et les étudiants suivront un cours leur permettant d’acquérir les compétences attendues.
Quelles sont les modalités pratiques ?
Les modalités sont définies au sein d’un programme détaillé rédigé par un jury composé de neuf membres : 4 représentantes et représentants des hautes écoles, 3 pour les universités et 2 pour les écoles supérieures des arts. La présidence du jury est confiée à un membre issu d’une haute école.
Le jury prépare l’épreuve (choix d’un texte, rédaction des questions et modalités d’évaluation) et est assisté par des expertes et experts, à savoir des docimologues, juristes, membres du jury du CESS et de la commission médicale pour les aménagements raisonnables. La correction de l’épreuve sera assurée en partie par les établissements et en partie par l’ARES.
Le jour-j, un groupe de personnes-relais encadrera l’épreuve au sein de chaque établissement concerné, ce groupe sera en lien continu avec l’ARES. Les interventions de ces personnes-relais consisteront à s’assurer du respect des critères d’organisation en veillant au bon déroulement de l’épreuve.
Comment les résultats seront-ils communiqués ?
Au plus tard le premier mardi du mois de décembre (le 5 décembre 2023), les candidates et candidats recevront personnellement le résultat de l’épreuve, soit une attestation de réussite ou une attestation de participation en cas d'échec, le cas échéant.
Laurent Despy, administrateur de l'ARES, déclare : "La mise en place de l'Examen de maîtrise de la langue française représente une étape importante dans la mise en œuvre de la Réforme initiale des enseignants. L'administration de l'ARES accompagne de manière proactive les établissements d'enseignement supérieur concernés par cette nouvelle réforme, en leur offrant, entre autres, un soutien logistique essentiel, démontrant ainsi une fois de plus son expertise précieuse."
EN SAVOIR + : toutes les informations sont sur le site Mesetudes.be.
Quelles études pour devenir prof ? La réponse sur Mesetudes.be
La rentrée académique 2023-2024 sera synonyme de changements majeurs pour la formation initiale des professeures et professeurs. En effet, les études pour devenir enseignant ou enseignante, de la maternelle au supérieur, ont été entièrement réorganisées : exit le préscolaire, les primaires, l’agrégation…place aux bacheliers et masters en enseignement déclinés en 5 sections selon le niveau d’enseignement auquel on se destine. Désormais, 4 années minimum de formation seront nécessaires pour enseigner.
Entre la réforme avec son lot de nouveaux masters en enseignement et les cursus qui ne sont pas concernés par ces changements (comme le Certificat d’aptitudes pédagogiques pour donner cours dans le secondaire technique et professionnel), difficile de s’y retrouver ! Afin d’aiguiller les futures enseignantes et les futurs enseignants, Mesetudes.be, le site web de référence sur l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles édité par l’ARES, évolue lui aussi et intègre une nouvelle rubrique : « Quelles études pour devenir prof ? ».
Concrètement, nous mettons à disposition un guide pour aider toute personne souhaitant devenir prof à définir le parcours d’étude le plus adapté à son profil, la matière à enseigner ou le niveau d’enseignement dans lequel il ou elle souhaite donner cours. Les étudiantes et étudiants déjà engagés dans un cursus de prof ne sont pas en reste puisque le guide précise les impacts de la réforme sur leurs études. Au total, Mesetudes.be s’enrichit donc d’une trentaine de pages !
Une équipe de l’ARES et du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles sera d’ailleurs présente, au côté des établissements d’enseignement supérieur, aux salons « Études & Professions » (SIEP) de Namur (10 et 11 mars) et de Mons (17 et 18 mars).
EN SAVOIR + : Découvrez la nouvelle rubrique via ce lien
Les indicateurs essentiels de la formation initiale des enseignants
L’ARES revient avec une quatrième édition de StatSup’Info, la note d’information qui décode une thématique liée à l’enseignement supérieur. Cette fois-ci, le numéro se concentre sur plusieurs indicateurs relatifs à la formation initiale des enseignants (FIE) entre 2009-2010 et 2020-2021. Pour rappel, celle-ci fait l’objet d’une réforme majeure dont la mise en application est prévue à la rentrée académique 2023-2024.
La formation initiale des enseignants (FIE) en haute école rassemble environ 14 000 étudiantes et étudiants en 2020-2021. Parmi ceux-ci, 2 sur 10 suivent des études conduisant à l’enseignement de niveau préscolaire, 4 sur 10 à l’enseignement de niveau primaire et à nouveau 4 sur 10 à l’enseignement de niveau secondaire.
Sur les 12 années académiques observées, on constate que les primo-inscriptions du niveau préscolaire ont connu une diminution lente et constante dès 2009-2010, alors que celles qui concernent les niveaux primaire et secondaire ont augmenté lentement jusqu’en 2016-2017, avant de chuter rapidement. De manière générale, depuis 2016-2017, le nombre total de primo-inscriptions dans les filières de la FIE a diminué de 18,4%. La situation n’est cependant pas identique pour les 3 niveaux d’enseignements : au niveau préscolaire, cette diminution est de 5,7%, tandis que les niveaux primaire et secondaire affichent une baisse de l’ordre de 20%.
Alors que les étudiantes représentent en moyenne 7 personnes primo-inscrites sur 10, elles représentent 8 diplômés sur 10, indiquant un taux d’abandon et de réorientation plus élevé chez les hommes. Cela étant, les proportions de genre en matière de primo-inscription varient d’un niveau d’enseignement à l’autre. Si le niveau secondaire affiche une presque parité, les niveaux préscolaire (96%) et primaire (81%) font apparaitre une prédominance de femmes.
Quel que soit le genre, on assiste à une augmentation de la durée moyenne des études au fil du temps. En 2020-2021, 5 personnes diplômées sur 10 terminent leurs études en 3 ans ; en 2009-2010, elles étaient 7 sur 10. Précisons que la durée moyenne des études des diplômées (3,31 ans) est inférieure à celle des hommes de (3,67 ans) et, enfin, que les durées moyennes des études par niveau sont de 3,3 ans pour le préscolaire, 3,24 ans pour le primaire et 3,57 ans pour le secondaire.
Laurent Despy, administrateur de l’ARES : « À travers cette note, la capacité d’expertise de l’ARES est une nouvelle fois démontrée. Les indicateurs ici mis en lumière par la Direction des études et statistiques représentent une base chiffrée de référence pour le travail d’accompagnement qu’effectue la Cellule d’appui à la mise en œuvre de la réforme de la Formation initiale des enseignants. En complément à cette note, nous invitons d’ailleurs tout décideur politique, professionnel de l’éducation, étudiant, élève ou simple citoyen à consulter le tableau de bord interactif qui permettra de suivre, via une mise à jour annuelle, les effets de la réforme. »
EN SAVOIR + : télécharger la note d'information « StatSup’Info » sur la formation initiale des enseignants au format PDF
Avis 2024-12 | Demandes d’habilitations pour les nouvelles disciplines des sections 4 et 5 et pour l’organisation en horaire décalé
Avis sur la réforme de la formation initiale des enseignantes et enseignants : demandes d’habilitations pour les nouvelles disciplines des sections 4 et 5 et pour l’organisation en horaire décalé