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Every day, scholars around the world face threats to their safety, their research, and their freedom to think, teach, and speak. Universities and other higher education institutions have a responsibility - not just to offer refuge, but to create real opportunities for these scholars to rebuild their careers and contribute to academic life.

On June 3d, 2025, in Brussels, join key academic leaders, experts, and at-risk scholars themselves for an essential conversation on how higher education institutions can effectively support at-risk scholars, foster their integration in a French-speaking academic environment, and uphold academic freedom in an increasingly challenging global landscape.

This event, co-organised by the members of the Scholars at Risk section in the Wallonia-Brussels Federation (CRef, ARES, ULB, UCLouvain, and ULiège), will offer inspiring insights, practical recommendations, and a space for meaningful exchange, culminating in a networking reception intended to build connections with peers and experts working at the forefront of academic freedom.

Programme highlights:

• Adapting support to crises: how can organisations and universities adapt their support mechanisms to the diverse and evolving crises faced by scholars at risk?
• Integrating scholars at risk in the French-speaking academic environment: what are the key barriers and good practices to the integration of displaced researchers in French-speaking institutions?
• Preserving academic freedom in partnerships: how can universities navigate the balance between international collaboration and ethical considerations?

PROGRAMME

Registration is mandatory – don’t miss out !
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Registrations are open until 20 May 2025.

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Résultats de la première édition de l'épreuve de maitrise de la langue française (EMLF)

Corolaire de la réforme de la formation initiale des enseignantes et enseignants, l’épreuve liminaire portant sur la maitrise approfondie de la langue française (EMLF) est destinée aux étudiantes et aux étudiants qui entament des études de master en enseignement. Cette épreuve a pour but d’évaluer les compétences d’analyse et de résumé d’un texte informatif ou argumentatif, et de production d’un texte écrit argumentatif.

3 102 personnes, inscrites dans les bacheliers en enseignement des sections 1 à 3, ont passé la première édition de l’épreuve. Les données collectées comprennent leurs résultats, les informations liées à leur cursus (lieu de passation, cursus, etc.) et les caractéristiques des étudiantes et étudiants (langue de scolarisation, niveau perçu de compétence en français, etc.).

Les analyses descriptives réalisées mettent en lumière quelques disparités dans les résultats obtenus à l’épreuve entre les masters en enseignement des sections 1 à 3. Des différences sont également observées en lien avec les profils des étudiantes et des étudiants. Si la compréhension à la lecture est globalement bien maîtrisée, la production écrite reste un défi majeur, en particulier en ce qui concerne la structuration du texte et le fonctionnement de la langue.

Au-delà des taux de réussite, ces résultats constituent une ressource précieuse pour analyser les compétences langagières des futures enseignantes et des futurs enseignants. Les futures éditions de l’épreuve permettront d’affiner ces premières observations.