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Documents et outils

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Ressources des alliances européennes

Podcast ZOOM / Tout savoir sur e-paysage, la plateforme coordonnée par l’ARES

Dans cet épisode, l’ARES vous fait découvrir e-paysage, une plateforme informatisée, centralisée et sécurisée destinée à faciliter les échanges de données dans l’enseignement supérieur.

Renforcer le rôle de la Belgique dans le monde

Soumis par Antoine le

Des hommes et femmes politiques belges, des scientifiques de renom, des ambassadeurs et des anciens étudiants de VLIR-UOS, de l'ARES et de l'IMT croient tous en la valeur diplomatique de la coopération académique mondiale. Nous leur avons demandé de partager leur histoire dans une vidéo.

Les conflits, le changement climatique et les défis mondiaux en matière de santé nous concernent tous. Ce qui se passe ailleurs dans le monde a un impact direct sur notre pays. Les défis et les conflits à travers le monde rendent beaucoup de personnes incertaines. Mais ce n’est pas le moment d’être pessimiste. C’est le moment d’agir à l’échelle internationale. Et la Belgique choisit d’assumer ses responsabilités en investissant dans des partenariats solides avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine. La coopération mondiale n’est pas seulement un devoir moral, elle sert aussi nos intérêts communs. 

La coopération académique joue un rôle central dans cette approche. Elle relie les institutions, les chercheurs et les étudiants au-delà des frontières. Elle conduit à des résultats concrets dans des domaines comme la santé publique et la résilience climatique, grâce à l’enseignement supérieur et à l’innovation. Et, bien sûr, elle renforce l’écosystème de recherche, l’économie du savoir et la visibilité internationale de la Belgique. Ces partenariats académiques sont fondés sur l’égalité et un engagement à long terme.

Réseau de chercheurs, d’anciens étudiants et de scientifiques

La coopération académique mondiale repose sur la co-création, l’apprentissage mutuel et le progrès partagé. Elle reflète la conviction de la Belgique en une diplomatie par le savoir. Les réseaux de chercheurs, d’anciens étudiants et de scientifiques sont des atouts stratégiques. Les étudiants et chercheurs qui étudient en Belgique ou collaborent avec des institutions belges deviennent souvent des leaders dans leurs domaines. Ils diffusent les valeurs belges — démocratie, liberté académique et droits humains — au sein de leurs communautés. Ils deviennent des partenaires de confiance pour les diplomates et contribuent à bâtir des ponts entre la Belgique et le reste du monde.

Des personnalités témoignent

Des responsables politiques belges, des scientifiques de renom, des ambassadeurs et des anciens étudiants de VLIR-UOS, de l’ARES et de l’IMT croient tous en la valeur diplomatique de la coopération académique mondiale. Nous leur avons demandé de partager leur témoignage dans une vidéo.

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Maxime Prévot, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, des Affaires européennes et de la Coopération au développement, souligne l’importance dans sa note politique : « La riche coopération académique belge stimule l’innovation, permet les échanges d’expertise nécessaires, contribue à renforcer la réputation et la confiance des partenaires (soft power). »
URL de Vidéo distante
Peter Piot, épidémiologiste de renommée mondiale, codécouvreur du virus Ebola, pionnier dans la recherche sur le VIH et le sida, ancien directeur de la London School of Hygiene & Tropical Medicine et directeur exécutif fondateur de l’ONUSIDA, affirme avec conviction : « Personne n’est trop riche pour ne rien apprendre des autres, et personne n’est trop pauvre pour ne rien avoir à offrir au reste du monde. »
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Peter Huyghebaert, ambassadeur de Belgique en Tanzanie
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Sakina Mwinyimkuu, ancienne étudiante de l’Université d’Anvers, Institut de politique de développement, actuellement en poste au cabinet du Premier ministre en Tanzanie
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Melissa Orihuela Garcia, jeune diplômée du programme européen de microfinance (ULB – 2024), originaire de Bolivie
URL de Vidéo distante
Yves Coppieters, ministre de la Santé, de l’Égalité des chances et des Droits des femmes au sein du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ; ministre wallon de la Santé, de l'Environnement, des Solidarités et de l'Économie sociale
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Une journée d'étude sur l'intelligence artificielle et les compétences informationnelles

Soumis par Marine le

Le 23 juin dernier, le groupe de travail ILIB de la Commission des bibliothèques et services académiques collectifs de l’ARES, a organisé une journée d’étude intitulée « Intelligence artificielle (IA) et compétences informationnelles » à destination des bibliothécaires des établissements d’enseignement supérieur  de la Fédération Wallonie-Bruxelles.


Face aux bouleversements engendrés par l’IA dans l’enseignement supérieur, la journée visait à ouvrir un espace de réflexion critique et de pratiques partagées autour de l’impact de celle-ci sur les métiers de l’information et plus spécifiquement, sur la formation à « l’information literacy ».


L’objectif de la journée était ainsi de redéfinir le rôle des bibliothèques à l’ère de l’IA. Faut-il adapter ou refonder les référentiels de compétences informationnelles ? Comment intégrer l’IA dans les formations à la recherche documentaire ? L’IA est-elle une opportunité pour renforcer la médiation documentaire ou une menace pour l’expertise bibliothécaire ? Enfin, quels outils adopter, et avec quelle littératie critique ?


La première partie de l’événement était consacrée aux regards croisés sur l’IA dans l’enseignement supérieur. Carl Morch (FARI.brussels) a ouvert les discussions avec une intervention sur l’IA publique et locale, mettant l’accent sur l’éthique, la transparence, la souveraineté technologique et les défis concrets pour les institutions publiques. Pascal Vangrunderbeeck (Learning Lab – UCLouvain) a ensuite présenté les initiatives mises en place pour accompagner le corps enseignant dans l’intégration de l’IA, de l’encadrement des mémoires à la redéfinition des grilles d’évaluation. Evi Belsack (CAP – ULB) a proposé une mise en perspective des enjeux liés à l’évaluation à l’ère de l’IA, entre adaptation des pratiques d’évaluation et maîtrise des outils.


Dans un second temps, sept ateliers participatifs ont été proposés aux participants et participantes : 

  • « Créer ou éviter l’usage de l’IA générative ». Magdalena Malz a montré comment concevoir des activités pédagogiques intégrant l’IA, ou non, de manière réfléchie ;
  • « Interactions critiques avec l’IA ». Pascal Vangrunderbeeck a animé un atelier débranché stimulant la réflexion collective sur les usages sensibles de l’IA ;
  • « Controverse documentaire « AI vs Book » ». Frédéric Brodkom a mené un débat sur la transformation des pratiques de recherche documentaire ;
  • « Recherche documentaire et expertise ». Violaine Detienne & Vincent Ponsard ont interrogé la complémentarité entre bibliothécaire et IA en posant la question provocante « si l'IA répond à tout, à quoi servons-nous encore ? » ;
  • « Primo Research Assistant ». François Renaville a présenté l’outil Primo Research Assistant, démontrant ses forces (structuration, gain de temps) et ses limites (retrait de certaines bases de données, biais de couverture) ;
  • « Compétences et AI literacy ». Dominique Verpoorten a exploré les tensions entre retour aux fondamentaux et nouvelles littératies ;
  • « L’art du prompt ». Orlando Palermo a enseigné des techniques pour dialoguer efficacement avec l’IA via des prompts bien conçus.


Repenser les compétences informationnelles et documentaires à l’ère de l’IA, développer une littératie critique de l’IA, tant pour les étudiant·es que les professionnel·les de l’information, reconnaître les apports tout en restant vigilant·es face aux biais, aux usages passifs ou non éthiques et articuler outils humains et outils algorithmiques dans une logique d’agentivité partagée… voici quelques-uns des enjeux majeurs mis en évidence lors de cette journée.
 

En conclusion, cette journée a confirmé le besoin d’un cadre éthique, pédagogique et collaboratif pour aborder l’IA dans les bibliothèques académiques. Les échanges ont permis d’ancrer les innovations dans des pratiques responsables, partagées et adaptées aux réalités de terrain. Les participantes et participants ont exprimé leur besoin d’étendre le débat initié lors de cette journée sur les questions d’encadrement des mémoires / TFE ainsi que l’utilisation de l’IA pour effectuer des revues systématiques de la littérature.

Non-importé
/sites/default/files/styles/image_white_header_paragraph/public/2025-07/visel-site-cbs-ia.png?itok=7iQltxUaⒸShutterstock.com/Iconic Prototype

Décisions du Conseil d'administration | Juillet 2025

Décisions de la réunion du Conseil d'administration de l'ARES du 1er juillet 2025

Décisions du Conseil supérieur de la mobilité | Mai 2025

Décisions de la réunion du Conseil supérieur de la mobilité du 13 mai 2025

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