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Renforcer le rôle de la Belgique dans le monde

Des hommes et femmes politiques belges, des scientifiques de renom, des ambassadeurs et des anciens étudiants de VLIR-UOS, de l'ARES et de l'IMT croient tous en la valeur diplomatique de la coopération académique mondiale. Nous leur avons demandé de partager leur histoire dans une vidéo.

Les conflits, le changement climatique et les défis mondiaux en matière de santé nous concernent tous. Ce qui se passe ailleurs dans le monde a un impact direct sur notre pays. Les défis et les conflits à travers le monde rendent beaucoup de personnes incertaines. Mais ce n’est pas le moment d’être pessimiste. C’est le moment d’agir à l’échelle internationale. Et la Belgique choisit d’assumer ses responsabilités en investissant dans des partenariats solides avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine. La coopération mondiale n’est pas seulement un devoir moral, elle sert aussi nos intérêts communs. 

La coopération académique joue un rôle central dans cette approche. Elle relie les institutions, les chercheurs et les étudiants au-delà des frontières. Elle conduit à des résultats concrets dans des domaines comme la santé publique et la résilience climatique, grâce à l’enseignement supérieur et à l’innovation. Et, bien sûr, elle renforce l’écosystème de recherche, l’économie du savoir et la visibilité internationale de la Belgique. Ces partenariats académiques sont fondés sur l’égalité et un engagement à long terme.

Réseau de chercheurs, d’anciens étudiants et de scientifiques

La coopération académique mondiale repose sur la co-création, l’apprentissage mutuel et le progrès partagé. Elle reflète la conviction de la Belgique en une diplomatie par le savoir. Les réseaux de chercheurs, d’anciens étudiants et de scientifiques sont des atouts stratégiques. Les étudiants et chercheurs qui étudient en Belgique ou collaborent avec des institutions belges deviennent souvent des leaders dans leurs domaines. Ils diffusent les valeurs belges — démocratie, liberté académique et droits humains — au sein de leurs communautés. Ils deviennent des partenaires de confiance pour les diplomates et contribuent à bâtir des ponts entre la Belgique et le reste du monde.

Des personnalités témoignent

Des responsables politiques belges, des scientifiques de renom, des ambassadeurs et des anciens étudiants de VLIR-UOS, de l’ARES et de l’IMT croient tous en la valeur diplomatique de la coopération académique mondiale. Nous leur avons demandé de partager leur témoignage dans une vidéo.

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Maxime Prévot, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, des Affaires européennes et de la Coopération au développement, souligne l’importance dans sa note politique : « La riche coopération académique belge stimule l’innovation, permet les échanges d’expertise nécessaires, contribue à renforcer la réputation et la confiance des partenaires (soft power). »
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Peter Piot, épidémiologiste de renommée mondiale, codécouvreur du virus Ebola, pionnier dans la recherche sur le VIH et le sida, ancien directeur de la London School of Hygiene & Tropical Medicine et directeur exécutif fondateur de l’ONUSIDA, affirme avec conviction : « Personne n’est trop riche pour ne rien apprendre des autres, et personne n’est trop pauvre pour ne rien avoir à offrir au reste du monde. »
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Peter Huyghebaert, ambassadeur de Belgique en Tanzanie
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Sakina Mwinyimkuu, ancienne étudiante de l’Université d’Anvers, Institut de politique de développement, actuellement en poste au cabinet du Premier ministre en Tanzanie
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Melissa Orihuela Garcia, jeune diplômée du programme européen de microfinance (ULB – 2024), originaire de Bolivie
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Yves Coppieters, ministre de la Santé, de l’Égalité des chances et des Droits des femmes au sein du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ; ministre wallon de la Santé, de l'Environnement, des Solidarités et de l'Économie sociale