Mise en place d'un espace coopératif dédié à l’échange de matériaux de réemploi au sein d’une communauté de créateur.

Le village circulaire, un projet porté par des étudiants et qui est la colonne vertébrale qui articule quelques-unes de nos actions concrètes de transition.

Repenser la mode d’aujourd’hui et réinventer celle de demain pour une mode plus humaine et éco-responsable.

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! » (Lavoisier)

Projet de récupérathèque et de recyclage des matériaux plastiques.

Création d'une récupérathèque, magasin de matériaux de réemploi fonctionnant avec sa propre monnaie.

Une récupérathèque baptisée « Le Rucher ».

Lutte contre le gaspillage de ressources primaires et lutte contre la précarité étudiante.

Mise en place une récupérathèque, c’est-à-dire un magasin de matériaux de réemploi qui fonctionne avec une monnaie locale.

Transformation de déchets vestimentaires (broyés et agglomérés) en panneaux d'isolation thermique.

Réflexion sur la façon dont les enseignants voulaient enseigner la mode aux étudiants de la section stylisme.

Le secteur de l’habillement est, en termes d’émissions de gaz à effet de serre, la deuxième industrie la plus polluante au monde. Face à ce constat, les Ateliers Saint-Luc de Bruxelles ont entamé une réflexion sur la façon dont ils voulaient enseigner la mode aux étudiants de la section stylisme. L’ambition de ce projet est d’accompagner au mieux les étudiants vers une mode qui se veut plus humaine et écoresponsable.

Fabrication de prototypes de capes de pluie pour cyclistes à partir de toiles de tentes récupérées.

Projet de mobilité « autrement » axé sur la sensibilisation des étudiants et de l’équipe pédagogique tout en mettant en place des moyens permettant de développer la mobilité douce.

Elaboration une stratégie de "mobilité douce" en six étapes.

Inciter à faire plus de vélo.

Généraliser la formation « Accompagner un groupe de cyclistes dans la circulation » à l’ensemble des sections de la Haute École.

Renforcement du lien entre deux récupérathèques avec deux vélos cargo.

Outil pédagogique collaboratif et transdisciplinaire permettant de générer des liens entre enseignement, recherche et pratique.

Ce projet a trois aspirations : la réalisation d’assises pour profiter des espaces extérieurs à l’aide de matériaux durables et recyclés, la recherche et l’étude de matériaux de récupération susceptibles d’être utilisés ainsi que le partage des idées et des pratiques liés au réemploi de matériaux.

Le vélo cargo, l’outil indispensable pour faire le lien entre les étudiants, entre les différents ateliers, entre les ateliers et la récupérathèque, entre la récupérathèque et ses partenaires, entre les différentes récupérathèques.

« Que diriez-vous de repenser vos espaces parkings le temps d’une journée au profit de la mobilité douce ? » C’est à partir de cette proposition qu’a été organisée notre première journée campus sans voiture ! 

Mise en place d'un projet global de mobilité douce permettant de rallier les différents sites d’enseignement et intégrant les compétences et les talents des étudiants issus de différents cursus.

Installation d'un parking pour les engins à mobilité douce et des casiers, et promotion de la mobilité douce sur l’implantation de l'institution.

Communiquer pour faire s’impliquer davantage la communauté étudiante.

Durant cette année et depuis la naissance du projet, CINECOLAB a pris une tournure joyeusement inattendue. Dès l’annonce du lancement suite à l’obtention des fonds, nous avons constaté un engouement important de la part de nos partenaires initiaux (les quatre écoles supérieures disposant d’un atelier de production audiovisuelle et les organismes de soutien Wallimage, screen.brussels et le Centre du Cinéma de FWB) ainsi que de l’ensemble du secteur audiovisuel.

Création d'un village circulaire proposant de réduire les coûts liés aux études et d’améliorer la convivialité du campus.